FertiCheck Homme
Ce bilan permet une exploration préalable du statut biologique de l’homme, par un examen des taux de nutriments nécessaires pour une fertilité optimale.
Qu’est-ce que le FertiCheck Homme ?
Les apports en (micro-)nutriments d’une alimentation variée font partie des éléments clés pour assurer au sperme une qualité optimale. Des ajustements peuvent ainsi parfois s’imposer, pour permettre aux hommes en désir de paternité d’optimiser leur fertilité.
Avec le FertiCheck Homme vos besoins nutritionnels de futur papa seront évalués, ce qui permettra à votre praticien de définir avec vous une éventuelle complémentation adaptée et spécifique.
Que peut-on attendre des résultats du FertiCheck Homme ?
Depuis plusieurs années, la fertilité est en baisse dans les pays occidentaux, et l’appauvrissement nutritionnel des aliments, ainsi que le recours excessif à une « malbouffe » déséquilibrée, ne sont pas étrangers à ce phénomène.
En explorant votre profil nutritionnel et micronutritionnel, on pourra mettre en évidence des besoins spécifiques et/ou des déséquilibres à corriger afin de vous assurer une fertilité optimale.
Dans cette optique, le bilan FertiCheck Homme, qui se compose des marqueurs les plus pertinents, pourra permettre d’éviter une complémentation à l’aveugle, souvent inadaptée voire potentiellement délétère, pour privilégier au contraire l’apport spécifique de micronutriments définis.
A qui s’adresse le bilan FertiCheck Homme ?
Ce bilan s’adresse à tous les hommes en désir de paternité, et particulièrement en accompagnement d’une éventuelle complémentation :
- avant, afin de permettre son adéquation avec les besoins identifiés,
- pendant, afin de contrôler son efficacité,
- après, pour vérifier ses bénéfices.
Les paramètres du bilan
CRP Ultrasensible, Magnésium, Zinc, Sélénium, Cuivre, Vitamine A, Vitamine E, Homocystéine, Coenzyme Q10, Statut en acides gras érythrocytaires
En savoir plus sur le bilan FertiCheck Homme
Pourquoi le bilan FertiCheck Homme inclut-il spécifiquement ces paramètres ?
Le FertiCheck Homme réunit des paramètres essentiels dans l’optimisation de la fertilité masculine, de la spermatogénèse jusqu’à la fécondation. On y retrouvera ainsi les résultats des dosages
- de la CRP ultrasensible, dont l’élévation traduit l’existence d’une inflammation de bas grade, toujours délétère et en particulier dans ce contexte,
- du magnésium, cofacteur de nombreuses réactions enzymatiques et impliqué dans les processus épigénétiques fondamentaux aux différents stades de multiplication cellulaire qui accompagnent spermatogénèse, capacitation et fécondation,
- des oligoéléments cuivre, zinc et sélénium, ainsi que des vitamines A et E, acteurs de la protection anti-oxydante, nécessaire face au stress oxydatif majeur qui accompagne ces premières étapes de la reproduction,
- de l’homocystéine, acteur majeur des processus de méthylation indispensables au métabolisme cellulaire, dont le taux peut refléter une carence en vitamines B6, B9 ou B12,
- du coenzyme Q10, antioxydant fondamental de l’organisme et protecteur de l’organisme contre les attaques des radicaux libres,
- des différentes fractions du profil en acides gras érythrocytaires, permettant d’évaluer l’impact des apports lipidiques sur l’équilibre des acides gras polyinsaturés (AGPI), composant fondamental de l’acrosome du spermatozoïde.
Pour aller plus loin...
Wong WY, et al. The impact of calcium, magnesium, zinc, and copper in blood and seminal plasma on semen parameters in men. Reprod Toxicol. 2001;15(2):131-136.
Schmid TE et al. Micronutrients intake is associated with improved sperm DNA quality in older men. Fertil Steril. 2012;98(5):1130-7.e1.
Walczak-Jedrzejowska R, The role of oxidative stress and antioxidants in male fertility. Cent European J Urol. 2013;66(1):60-67.
Dattilo M, The importance of the one carbon cycle nutritional support in human male fertility: a preliminary clinical report. Reprod Biol Endocrinol. 2014;12:71.
Safarinejad MR, Safarinejad S. The roles of omega-3 and omega-6 fatty acids in idiopathic male infertility. Asian J Androl. 2012;14(4):514-515.
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